Born and educated in London, England, Trevor Goring started his career exhibiting in galleries and museums while teaching at the Montreal Museum School of Fine Arts. He published French language arts magazines, co-founded a Canadian national contemporary arts organization and directed a major public arts centre for over a decade. He has served on the Eastern Canada, Rhodes scholarship selection committee for three consecutive years.
In 1991 he founded Images Of Justice, a visual exploration of the history and symbolism of law through original paintings and prints. He has since exhibited at over 400 legal conferences in Europe and North America, given numerous illustrated lectures, published two legal art history books and written articles for print and electronic media. His works have appeared on scores of magazine front covers and in several widely used legal text books.
Portrait subjects include Supreme Court judges, philanthropists, elected politicians, university presidents and numerous prominent trial lawyers. His works are to be found in hundreds of private, public and corporate collections.
Trevor currently maintains studios in downtown Montreal, Canada and on the banks of the River Lee in Cork City, Ireland.
Trevor Goring
Peintre
Ruben Ramonda
Peintre
Born in Cordoba, Argentina
Lives in Quebec, divides is time between Quebec and New York.
Selected Artist for the 1% Intégration d’Oeuvre d’art à l’architecture du Québec, 2008-11
Dr. Jose Figueroa Alcorta Graduate School of Fine Arts, Cordoba, Argentina
Master in Sculpture, 1989
New York Academy of Arts, New York, NY
Master Certificate, 1986
Provincial School of Fine Arts, Cordoba, Argentina
Bachelor of Fine Arts, 1982
Daniel St-Pierre
Peintre
Né en 1954 en Abitibi Témiscamingue, Daniel St-Pierre peint depuis plus de 35 ans. Suite à une formation de graphiste, il complète sa formation par l’obtention en 1982 d’un Baccalauréat en Arts de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). À son actif, plusieurs expositions solos et quelques expositions de groupe comme:
Le 8e concours National d’Art visuel (1991)
Alliance Française AZ Art Ottawa (1992)
Pass Art 2000 Centre d’exposition de Rouyn-Noranda (2000)
De 2000 à aujourd’hui; dessins, peinture sur toile, création de meuble peint et autres médiums. En constante exploration, ses créations sont l’expression du rythme, de l’énergie de la nature avec ces surprises, ces formes et ces contrastes, ce sans jamais créer de coincidences picturales, mais laissant le spectateur le choix d’y retrouver sa propre vision.
Pierre Tougas
Aquarelle, Peintre
Pierre Tougas est un artiste peintre québécois né en 1949 à Saint Jean-sur-Richelieu.
Pierre Tougas poursuit une formation artistique à l’Académie des Arts du Canada dès l’âge de 16 ans, il est alors le plus jeune élève à y être admis. Entre 1965 et 1968, il s’initie aux techniques de base du dessin à la plume, au crayon, au pastel, à l’aquarelle puis à l’huile. Par la suite il poursuivra sa formation en participant de façon ponctuelle à des ateliers auprès d’artistes de renom américains et canadiens tels: Tom Nicholas, Don Stone et Alexis Arts.
Il fait d’abord carrière en illustration pendant dix ans avant de se consacrer exclusivement à l’aquarelle. En 1982, il participe à la fondation de la Société canadienne de l’aquarelle (SCA).
De 1980 à 1985, il enseigne l’aquarelle, pour se consacrer par la suite, uniquement à la peinture. Depuis 1980, il a donné une vingtaine d’ateliers et de nombreuses démonstrations au Québec. Au fil des ans, il a participé à vingt-cinq expositions solo et à plusieurs expositions de groupe.
Deux importantes rétrospectives lui ont été consacrées: Musée Laurier (1999), Musée Ramezay(2002).
Il est représenté dans différentes galeries au Québec et aux États-Unis. On retrouve ses oeuvres dans plusieurs collections corporatives et privées à travers le Canada, les États-Unis et en Europe. Il est considéré par ses pairs et les collectionneurs comme l’un des plus talentueux aquarellistes du Québec.
Premier prix du Salon de l’Aquarelle (SCA) (1996 et 2001)
Trois prix du public (1994 ,2001 et 2004).
Élu membre de la Canadian Society of Painters in watercolor de Toronto (CSPWC)en 1996.
Il travaille constamment à la recherche de son propre langage pictural afin d’atteindre cette représentation personnelle de la réalité.
Gabriel Landry
Peintre
Le travail pictural de Gabriel Landry aborde principalement des thématiques philosophiques, poétiques ou spirituelles dans un style qu’il qualifie de symbolisme-cloisonniste. Son approche symbolique lui permet des mises en scènes picturales qui traduisent ses visions du monde par des moyens d’expression spécifiques. Chaque tableau contient, en ce sens, une petite histoire ouverte à de multiples interprétations. La méthode du cloisonnement, quant à elle, assure un équilibre des formes ainsi que la décomposition des figures par tranches un peu comme dans un vitrail ou un prisme. Ses tableaux sont des huiles sur toiles où il emploie différentes tonalités de couleurs généralement appliquées en aplats.
En utilisant un tel style, Gabriel Landry a par exemple conçu une série de tableaux : Natashquan, le petit village au grand nom, à partir d’anciennes photographies et de souvenirs de son village natal. Il a cherché à exprimer le caractère poétique de ce coin de pays ainsi que la nostalgie liée à des images de son enfance. Une autre série : Couleurs de poèmes propose une interprétation visuelle des chansons de Félix Leclerc. Dans chacun de ces tableaux, il a créé des mises en scènes picturales à partir d’éléments tirés des paroles de ces chansons. Sa plus récente série, intitulée Au-delà de l’Apocalypse, comprend 22 tableaux inspirés des textes de l’Apocalypse. Si ce sujet semble présager une inévitable fin du monde, l’approche de Gabriel Landry tente plutôt une transposition picturale qui laisse place à un message d’espoir. En effet, l’utilisation de ce style qualifié de symbolisme-cloisonniste permet des mises en scènes picturales ouvrant ici à une lecture inusitée des textes de la Bible et par la même occasion à leur dédramatisation. En explorant ainsi diverses thématiques, les tableaux de Gabriel Landry […]
Louise Fortin
Peintre
Je m’intéresse à la peinture depuis plusieurs années. Je suis autodidacte et il y a longtemps que mes lectures de chevet sont des livres concernant les arts.
J’ai beaucoup cherché mon style personnel et curieusement celui-ci trouve ses racines dans mon enfance, il était si près et pourtant je l’ai cherché si loin. Je peins donc avec ce que je suis.
Aussi loin que me porte mes souvenirs ils sont bercés de multicolores aventures….À chaque étape de ma vie, la peinture a fait partie de moi et par elle j’exprime mes émotions, c’est la couleur de mon intérieur.
Un tableau se fait parfois “messager”, au début c’est une image….et tranquillement il vous fait partager son histoire particulière au-delà du visible. J’ai toujours aimé peindre les humains de tous les âges et à travers le temps, ils m’intéressent et m’inspirent, car ils portent en eux l’essentiel de la vie.
Blanche Paquette
Peintre
Ses oeuvres mettent en scène la magnificence de la nature et la complexité de l’humain. Elles parlent de vie en société et de l’exigence d’être soi. Elles invitent à vivre une aventure intérieure et à marcher vers un monde meilleur.
Blanche Paquette peint des mandalas. Elle vient justement de publier chez Fides, avec Jean-François Malherbe, auteur et philosophe, le livre Mandalas qui présente ses oeuvres inspirantes.
Mais au fait, qu’est-ce qu’un mandala? « Le mandala, dont le mot issu du sanscrit signifie cercle, tire son origine des traditions religieuses hindouistes et bouddhistes. » Pour ces traditions spirituelles, le mandala, qui soutient et nourrit la méditation, est une représentation de l’univers et se fait l’expression des liens sacrés qui unissent le cosmos, la divinité et l’humanité. « Mais dans son évocation profonde, le mandala, reflet de la plénitude du cosmos, demeure un des modèles fondamentaux d’organisation de la vie et apparaît sous les aspects les plus divers depuis l’origine des temps. On en trouve les plus belles formes dans la nature. »
Pour Blanche Paquette, c’est surtout dans la géométrie des mandalas bouddhistes, ces modèles d’organisation de la vie, qu’elle a puisé son inspiration.
Françoise Lavoie
Art digital, Peintre
Depuis le début de sa carrière en 1979, la persistance du geste, le travail à long terme, marque l’œuvre de Françoise Lavoie. Privilégiant les techniques liées aux arts d’impression, elle conçoit des séries et des cycles, où l’image devient génératrice de fiction. Son questionnement s’est appuyé, au cours des années, sur la relation entre nature humaine et bêtise humaine dans des livres d’art tels Le Réticule et Hôtel ou l’installation Hôtel, le chant du mur noir, relative aux drames des camps de la mort. Celle-ci, par l’intégration de gravures de grandes dimensions à même une structure sombre et imposante, marquait d’ailleurs une nouvelle étape pour Fançoise Lavoie, qui peaufinera cette approche tout au long de sa carrière, et jusque dans sa production récente.
Au cœur du processus d’évolution de sa recherche picturale, les nouvelles technologies numériques s’imposent comme outil de création. Il existe, pour Françoise Lavoie, une filiation évidente entre les procédés propres à l’estampe et à l’image numérique. Chose étonnante, cette approche numérique n’a modifié en rien sa façon de concevoir l’œuvre imprimée. Se réclamant de la photo naturaliste plus que de la peinture, la photographie lui avait permis de fragmenter l’espace, de stocker et d’agencer des éléments de diverses sources. Son travail s’organise par une juxtaposition graphique et photographique. L’impression numérique n’est qu’un nouvel outil permettant d’obtenir des épreuves sur divers types de supports et d’élargir le choix quant au format. Le patrimoine iconographique sert ainsi de matériau de base à une esthétique hybride : amalgame, collage, déformation et transformation. À travers cette réalité, il n’y a plus de photographes ou de graveurs, seulement des créateurs d’images.
Cette recherche dans l’univers de l’image de synthèse s’inscrit parfaitement dans le développement de sa création, souvent […]
Pierre Morin
Peintre
Pierre Morin a étudié en arts visuels à Québec à la fin des années soixante et au début des années soixante-dix, à l’époque où l’école des beaux-arts est devenue la faculté des Arts visuels de l’Université Laval. Après ses études, il enseigna les arts plastiques au secondaire mais pour une brève période. N’ayant pas les conditions favorables pour tenter une carrière en art visuel, il s’est alors perfectionné en graphisme, ce qui lui aura permis de sécuriser les besoins d’une famille tout en faisant une carrière près de sa réalité d’artiste, soit dans le métier des arts graphiques, de l’illustration et des communications.
La nature de son travail lui permettra de demeurer en contact avec l’univers des arts visuels et de la création. Il y exercera le métier de graphiste et d’illustrateur d’abord à l’université de Sherbrooke et ensuite en agence de publicité pendant plus de deux années. Il a finalement créé ma propre boîte en communication graphique et y a fait carrière jusqu’en 2007 en dirigeant un bureau à Montréal et à Sherbrooke. Pendant toutes ces années, à quelques reprises, il tentera parallèlement à son travail de graphiste de faire de la peinture, mais en vain. Il est incapable de partager ce travail d’artiste peintre avec toute autre activité, la peinture n’a rien du hobby pour lui, c’est un travail impartageable, des plus exigeants et des plus rigoureux, rien d’autre n’existe alors.
Comme notre réalité finit toujours par nous rattraper, il va sans dire que son besoin de peindre ne l’a jamais quitté. C’est ainsi qu’en 2007 il prendra la décision de suivre à temps plein sa véritable voie, celle d’artiste peintre. Depuis ce jour, en plus d’être au travail de la peinture avec ardeur […]
Louise Naud
Peintre
L ‘Art de l’enfance!
Chaque tableau de Louise Naud nous raconte une histoire d’enfance. « Je veux que les gens qui accrochent mes tableaux dans leur demeure puissent avoir, le temps d’un regard, un retour dans les souvenirs de leur enfance et y retrouver ces moments féériques remplis de naïveté, de joie de vivre et de vitalité » de commenter l’artiste.
Troisième enfant de la famille, Louise a vécu une enfance des plus heureuses avec ses parents, une sœur et deux frères à Barraute, petit village d’Abitibi dans le nord-ouest du Québec où le soleil se lève sur des milliers de lacs et rivières, où des dizaines de chevalements miniers s’étirent dans le ciel pour extraire de riches minéraux de ces sols à saveur aurifère, où la forêt boréale s’embrase juste avant le crépuscule, où les aurores elles aussi boréales dansent sur un tapis d’étoiles, où il fait bon profiter de chaudes et longues journées d’été tout comme de rigoureux hivers… C’est donc de cet univers riche et coloré, de ces paysages immenses et de ces ambiances chaleureuses qui ont meublé l’enfance de Louise que proviennent bien des scènes qu’elle fait aujourd’hui revivre sous son pinceau.
Artiste autodidacte, toute jeune elle dessinait déjà des petits bonshommes et des petites bonnes femmes partout dans la maison et, même, un personnage d’au moins deux fois sa taille sur un mur intérieur du garage familial! À l’époque, sa mère doit la border au lit non pas avec son ourson de peluche mais avec sa boîte de crayons aux multiples couleurs. « Je me souviens, très jeune je m’endormais sous le regard de toutes ces couleurs et je m’imaginais tous ces petits bonshommes qui s’amusent et que j’allais dessiner […]
Chantal Poulin
Peintre
La carrière d’artiste peintre de Chantal Poulin s’est dessinée dès l’enfance. En effet, c’est à l’école maternelle que le bonhomme de neige qu’elle avait représenté à la gouache lui valut beaucoup de compliments. C’est probablement là que la flamme sacrée s’est allumée et que Chantal s’est mise à recherché cette reconnaissance par ses créations.
Aujourd’hui connue par ses tableaux d’enfants, qui représentent la fraîcheur, la candeur, l’harmonie, la simplicité et le respect, elle s’est pourtant fait connaître par des paysages lors de sa première exposition solo en 1978, à Montréal . À ce moment-là, ses tableaux étaient signés “Tal”. C’est quelques années plus tard qu’elle a décidé de se consacrer entièrement à la peinture. Elle a depuis exposé seule ou en groupe à de nombreuses reprises tant au Canada qu’aux États-Unis et en Europe.
Sa réputation a été consolidée au Québec à l’époque, lorsqu’elle illustra en 1986, le “best-seller” d’Arlette Cousture “Les filles de Caleb-Blanche” qui s’est vendu à un million d’exemplaires.
Voir Poulinart pour l’achat de reproduction de ses tableaux
Mais ce sont les années 90 qui ont marqué un tournant majeur dans sa carrière avec le marché Américain. En effet Chantal Poulin fracasse des records aux États-Unis avec une pénétration de 1 édition limitée par 250 foyers américains, faisant de Chantal l’artiste canadienne la plus collectionnée au monde.
Elle a d’ailleurs reçu à Chicago le prix “Collectors Choice New Artist of the Year” lors du “International Collectible Exposition” en 1997 et elle est l’une des deux artistes canadiens, avec Robert Bateman, a être édité aux États-Unis par un important éditeur américain d’édition limitées.
Reproductions à tirage limité de Chantal Poulin à moins de 4 peintures à l’huile par année, certaines oeuvres lui prennent plus de 6 mois. […]
Diane Forest
Aquarelle, Peintre
La passion de l’aquarelle de Diane Forest
Particulièrement douée pour le dessin dès sa tendre enfance, Diane Forest poursuit une carrière d’artiste professionnelle et se distingue par une démarche très personnelle.
Diane Forest approfondit constamment son approche picturale qui se remarque par son sens de la composition et le charme de ses interprétations réalistes.
Née en 1961 à Montréal et citoyenne de Longueuil, depuis plusieurs années, Diane Forest participe régulièrement à des expositions collectives. Auteure de la chronique «Peindre à l’aquarelle» du magasine «l’Aquarelliste» Diane est aussi membre signataire de la Société Canadienne de l’Aquarelle SCA. Elle est d’ailleurs co-fondatrice de l’école d’aquarelle et vice-présidente de cette société. Diane Forest est aussi membre signataire de l’Institut des Arts figuratifs IAF.
Diane Forest a reçu, plusieurs prix et reconnaissances, notamment à l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec; elle a été nommée académicienne, par ses pairs, et «Artiste de l’année 2006» remportant ainsi le «Vote du Public» au Musée des beaux-arts de Montréal, lors de l’ACADEMIA XXI, où elle a aussi remporté le Prix «Denis Beauchamp» accompagné d’une bourse.
Honorée par la Ville de Longueuil dans le cadre de la FrancoFête, on retrouve Diane Forest invitée du Carnaval de Québec, de la Farandole des Arts de Ste-Marguerite et la Caisse Populaire de St-Hubert salue fièrement son talent et son implication en qualifiant Diane Forest d’artiste hubertine résolument engagée dans son milieu.
Vous pouvez lire la version intégrale des chroniques de Diane Forest, sur le site de l’Académie. (AIBAQ) http://artacademie.com/main-chroniquesfull.cfm
L’artiste a commencé très jeune à décrocher des prix et des honneurs, en 1973, l’artiste de douze ans décroche le premier prix pour son dessin, lors d’un concours scolaire, tenu à la grandeur du Québec, sous le thème de l’environnement. « Empoubellissons »
Dessiner, peindre, […]
Société canadienne de l’aquarelle
Aquarelle, Peintre
La fondation
En novembre 1982, Jean-Paul Ladouceur, Maurice Domingue, Jacques Hébert et un premier groupe de 10 autres aquarellistes professionnels, fondent la Société canadienne de l’aquarelle afin de faire connaître ce médium et de lui donner ses lettres de noblesse ici, au Canada. En effet à cette époque, l’aquarelle était méconnue et peu de galeries les exposaient contrairement aux États-Unis où on était plus ouverts à ce médium.
Dès 1983, La Société Canadienne de l’Aquarelle organise un salon qui se tient au Centre culturel de Verdun. Deux cent vingt-cinq artistes présentent leurs oeuvres et le jury en retient 55 pour l’événement.
En 1984, on présente le premier Salon officiel de la SCA. Des 325 oeuvres présentées pour le concours, 65 sont retenues. L’événement se tient à Montréal et à Ottawa. On publie à 5 000 exemplaires un premier petit fascicule intitulé L’Aquarelle, questions et réponses, épuisé dans un temps record.
Le chemin du roy
Démonstrations de maîtres américains
Salon de la fleur
La croissance
À compter de 1986, la SCA ne cesse de croître, le Salon annuel de l’aquarelle attire de plus en plus de public. Entre temps la Société met sur pied les ateliers-vacances de Mimibourg. En 1989, le Salon est aussi présent à Alma et Hull, puis ensuite à Trois Rivières et Rimouski.
En 1987, la SCA se dote d’une charte fédérale à but non lucratif. Le but de l’association étant la promotion de l’aquarelle tant auprès du public que des artistes.
À compter de 1992, 100 œuvres sont présentées au Salon. Cette année là la Société perd son fondateur, Jean-Paul Ladouceur meurt à la suite d’une longue maladie.
A compter de 1997, la Salon est présenté à la Salle Tudor du magasin Ogilvy. Cette même année le catalogue du Salon est imprimé […]
Ginette Laplante
Peintre
Née a Drummondville en 1947, Ginette Laplante se passionne dès son plus jeune âge pour le dessin et le pastel. Elle s’intéresse aux peintres québécois, aux peintres naïfs yougoslaves, aux grands maîtres européens et aux différents courants en peinture. C’est dans la peinture naïve qu’elle parvient le mieux à transmettre ses sentiments, c’est pourquoi elle décide de s’y consacrer entièrement.
Dans ses oeuvres, Ginette Laplante incorpore les beautés et caractéristiques du Québec qui, avec ses quatre saisons, lui donne l’opportunité de s’exprimer en utilisant toute la gamme des couleurs. Ses scènes de la vie rurale et urbaine évoquent des moments d’amour, de rire, de bonheur et de joie. La réputation de Ginette Laplante est internationale. Ses oeuvres au style naïf ont été exposées à travers le monde, notamment en Australie, en Italie, en France et aux États-Unis. Plusieurs de ses créations font partie de collections publiques et privées.
Gisèle Benoit
Peintre
Gisèle Benoit est peintre animalier, conférencière, réalisatrice de films documentaires et auteure de nombreux articles, ouvrages et mémoires. Cette artiste passionnée par l’éthologie se décrit avant tout comme une observatrice du comportement animal, une âme curieuse, audacieuse et patiente, vouée à la cause du monde sauvage. Les beautés et les mystères insondables de la Nature n’ont jamais cessé d’inspirer l’œuvre de cette autodidacte.
La Dame aux orignaux, comme l’appellent certains, a plus d’une corde à son arc. Que ce soit dans le domaine de l’art ou de la science, ses flèches atteignent leurs cibles : émouvoir, sensibiliser et éveiller le public à l’urgence de protéger la biodiversité de la grande forêt boréale canadienne. Tel est le but qu’elle partage avec ses parents, Monique et Raynald Benoit, ses éternels complices.
L’histoire de Gisèle Benoit est celle d’une famille qui puise force et détermination dans son union afin de concrétiser ses rêves les plus fous : celui de communiquer avec les animaux et les oiseaux sauvages en utilisant leur langage, et celui de vivre six mois par année dans un chalet de bois rond loin des hommes et près des bêtes.
À l’aube de la cinquantaine, et plus que jamais consciente de l’urgence d’agir pour préserver la nature, Gisèle Benoit conserve le bâton et la foi du pèlerin tout en poursuivant son œuvre avec le concours indéfectible de ses parents et des membres de la Société Art et Science pour la Nature (SAS Nature). Ses totems, le loup et l’orignal marchent eux aussi aux côtés de cette prophétesse aux propos avant-gardistes…
Pour découvrir les nombreuses réalisations de cette naturaliste engagée, nous vous invitons à parcourir ce site qui partage plusieurs sections avec celui de la SAS Nature.
Patrice Wolput
Peintre
Patrice Wolput est né en 1963 à Sabrevois, un petit village agricole à une cinquantaine de kilomètres de Montréal. Tout en grandissant à la ferme de ses parents, il manifeste dès son jeune âge son attrait pour la nature et un talent inné pour le dessin. Après avoir obtenu un baccalauréat en Arts plastiques de l’université du Québec à Montréal, Patrice explore diverses avenues connexes à son art. Il s’investit dans des séries télévisuelles à titre de directeur artistique en décoration, et au cinéma comme peintre, tout en se consacrant à la peinture pendant ses temps libres.
De sa fascination pour la nature est née sa passion pour la peinture naturaliste. Doté d’un esprit d’observation et du souci des détails, il s’applique à mettre en lumière le lien intime entre l’animal et son habitat. Son sens aigu et intuitif en ce domaine transparaît d’ailleurs dans ses œuvres picturales. Plusieurs de ses œuvres ont été sélectionnées pour illustrer diverses monographies, notamment sur les oiseaux.
L’artiste, appelé à participer à plusieurs expositions au Canada, aux États-Unis et au Japon, est récipiendaire de plusieurs prix.
Poursuivant insatiablement sa quête d’instants de beauté, dans le but de nous faire découvrir ou redécouvrir le merveilleux monde de la nature, Patrice continue de peindre…
Michel Lapensée
Peintre
Né à Verdun en 1947, Michel Lapensée touche à la peinture pour la première fois dès l’âge de neuf ans. Après ses études secondaires, il étudie en art publicitaire au Studio 5316 et au Famous Artist School. Afin de payer ses études il travaillera comme facteur et il occupera cette fonction durant 12 années tout en continuant de peindre et enseigner la peinture. Un stage à Limoges, France lui donne l’occasion d’apprivoiser la technique de peinture sur la porcelaine.
Après avoir lui même réalisé trois expositions solos, Michel Lapensée atteint son objectif en 1977, de se consacrer entièrement à la peinture. Peintre assez versatile, il maîtrise aussi bien le portrait, les scènes de ville que les natures mortes. Ses techniques sont principalement l’huile, l’aquarelle et le pastel. La vision de Michel Lapensée est à la fois globale et riche dans le détail. Aucun tableau ne porte la marque d’un traitement rapide parce que, pour lui, une scène n’a de valeur que si elle parle…
Depuis 1984, son nom est relié au Club de Hockey Canadien pour qui il a produit des oeuvre majeures. Il a aussi peint des portraits de personnalités telles que : Maurice Richard, Jean Béliveau, Guy Lafleur, Serge Savard, Mario Lemieux, Mohamed Ali, Céline Dion et plusieurs autres.
Ses œuvres font partie de plusieurs collections privées et corporatives dont : Bell Canada, Shell Canada, Club de Hockey Canadien, Club de Hockey Washington Capitals, Club de Hockey Avalanche du Colorado, Banque Royale, Bombardier, la Société des Alcools, Provigo, Réno-Dépôt, Ligue Nationale de Hockey, Hydro-Québec.
Dominic Besner
Peintre
Depuis plusieurs années, Besner se consacre exclusivement à la peinture dans sa recherche d’une esthétique pour représenter sa vision du monde.
Ses tableaux, colorés et émouvants, s’inspirent de ses études en architecture, de ses maîtres à penser en peinture et de ses rencontres au fil des ruelles de Montréal. Ses tableaux témoignent d’un regard insistant et ludique sur le monde qui nous entoure.
Profondément marqué par le ravage des corps, par ce qui du corps s’impose au regard et à la réflexion, Besner crée des personnages qui gardent les traces du passé, qui semblent parfois des ombres d’eux-mêmes, et qui affrontent leur destinée jusqu’au bout.
Cette faune fabuleuse, inspirée de certains personnages d’Otto Dix, de Edvard Munch, de Leonor Fini et de Nicolas de Crécy, bédéiste, entre autres, avance peu à peu vers demain, à la manière de l’être humain. Êtres déchirés toujours rongés par l’espoir…
Né en 1965, à North Lancaster en Ontario, Besner a terminé un bac en architecture à l’Université de Montréal en 1992. Sa formation d’architecte, entreprise au Collège Algonquin à Ottawa quelques années avant le bac, lui a permis d’amorcer une réflexion sur la ville et sur ses composantes : son caractère éminemment humain, la tradition dont doit tenir compte toute articulation d’un plan urbain et les éléments nécessaires à sa survie au sein d’un milieu de vie culturel. Sa fréquentation du milieu universitaire lui a inculqué un regard critique lui permettant de définir sa vision d’un milieu de vie axé sur l’humain, avec une préoccupation pour le passé, le présent et l’avenir. Surtout, cette formation l’a amené à découvrir sa véritable passion, la peinture, et à envisager son métier de façon à transformer son bagage formel en une esthétique picturale de la […]