Aquarelle

Pierre Tougas

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Pierre Tougas est un artiste peintre québécois né en 1949 à Saint Jean-sur-Richelieu.
Pierre Tougas poursuit une formation artistique à l’Académie des Arts du Canada dès l’âge de 16 ans, il est alors le plus jeune élève à y être admis. Entre 1965 et 1968, il s’initie aux techniques de base du dessin à la plume, au crayon, au pastel, à l’aquarelle puis à l’huile. Par la suite il poursuivra sa formation en participant de façon ponctuelle à des ateliers auprès d’artistes de renom américains et canadiens tels: Tom Nicholas, Don Stone et Alexis Arts.
Il fait d’abord carrière en illustration pendant dix ans avant de se consacrer exclusivement à l’aquarelle. En 1982, il participe à la fondation de la Société canadienne de l’aquarelle (SCA).
De 1980 à 1985, il enseigne l’aquarelle, pour se consacrer par la suite, uniquement à la peinture. Depuis 1980, il a donné une vingtaine d’ateliers et de nombreuses démonstrations au Québec. Au fil des ans, il a participé à vingt-cinq expositions solo et à plusieurs expositions de groupe.
Deux importantes rétrospectives lui ont été consacrées: Musée Laurier (1999), Musée Ramezay(2002).
Il est représenté dans différentes galeries au Québec et aux États-Unis. On retrouve ses oeuvres dans plusieurs collections corporatives et privées à travers le Canada, les États-Unis et en Europe. Il est considéré par ses pairs et les collectionneurs comme l’un des plus talentueux aquarellistes du Québec.

Premier prix du Salon de l’Aquarelle (SCA) (1996 et 2001)
Trois prix du public (1994 ,2001 et 2004).
Élu membre de la Canadian Society of Painters in watercolor de Toronto (CSPWC)en 1996.

Il travaille constamment à la recherche de son propre langage pictural afin d’atteindre cette représentation personnelle de la réalité.

Diane Forest

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La passion de l’aquarelle de Diane Forest
Particulièrement douée pour le dessin dès sa tendre enfance, Diane Forest poursuit une carrière d’artiste professionnelle et se distingue par une démarche très personnelle.
Diane Forest approfondit constamment son approche picturale qui se remarque par son sens de la composition et le charme de ses interprétations réalistes.
Née en 1961 à Montréal et citoyenne de Longueuil, depuis plusieurs années, Diane Forest participe régulièrement à des expositions collectives. Auteure de la chronique «Peindre à l’aquarelle» du magasine «l’Aquarelliste» Diane est aussi membre signataire de la Société Canadienne de l’Aquarelle SCA. Elle est d’ailleurs co-fondatrice de l’école d’aquarelle et vice-présidente de cette société. Diane Forest est aussi membre signataire de l’Institut des Arts figuratifs IAF.
Diane Forest a reçu, plusieurs prix et reconnaissances, notamment à l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec; elle a été nommée académicienne, par ses pairs, et «Artiste de l’année 2006» remportant ainsi le «Vote du Public» au Musée des beaux-arts de Montréal, lors de l’ACADEMIA XXI, où elle a aussi remporté le Prix «Denis Beauchamp» accompagné d’une bourse.
Honorée par la Ville de Longueuil dans le cadre de la FrancoFête, on retrouve Diane Forest invitée du Carnaval de Québec, de la Farandole des Arts de Ste-Marguerite et la Caisse Populaire de St-Hubert salue fièrement son talent et son implication en qualifiant Diane Forest d’artiste hubertine résolument engagée dans son milieu.
Vous pouvez lire la version intégrale des chroniques de Diane Forest, sur le site de l’Académie. (AIBAQ) http://artacademie.com/main-chroniquesfull.cfm
L’artiste a commencé très jeune à décrocher des prix et des honneurs, en 1973, l’artiste de douze ans décroche le premier prix pour son dessin, lors d’un concours scolaire, tenu à la grandeur du Québec, sous le thème de l’environnement. « Empoubellissons »
Dessiner, peindre, […]

Société canadienne de l’aquarelle

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La fondation
En novembre 1982, Jean-Paul Ladouceur, Maurice Domingue, Jacques Hébert et un premier groupe de 10 autres aquarellistes professionnels, fondent la Société canadienne de l’aquarelle afin de faire connaître ce médium et de lui donner ses lettres de noblesse ici, au Canada. En effet à cette époque, l’aquarelle était méconnue et peu de galeries les exposaient contrairement aux États-Unis où on était plus ouverts à ce médium.
Dès 1983, La Société Canadienne de l’Aquarelle organise un salon qui se tient au Centre culturel de Verdun. Deux cent vingt-cinq artistes présentent leurs oeuvres et le jury en retient 55 pour l’événement.
En 1984, on présente le premier Salon officiel de la SCA. Des 325 oeuvres présentées pour le concours, 65 sont retenues. L’événement se tient à Montréal et à Ottawa. On publie à 5 000 exemplaires un premier petit fascicule intitulé L’Aquarelle, questions et réponses, épuisé dans un temps record.

Le chemin du roy
Démonstrations de maîtres américains
Salon de la fleur

La croissance
À compter de 1986, la SCA ne cesse de croître, le Salon annuel de l’aquarelle attire de plus en plus de public. Entre temps la Société met sur pied les ateliers-vacances de Mimibourg. En 1989, le Salon est aussi présent à Alma et Hull, puis ensuite à Trois Rivières et Rimouski.
En 1987, la SCA se dote d’une charte fédérale à but non lucratif. Le but de l’association étant la promotion de l’aquarelle tant auprès du public que des artistes.
À compter de 1992, 100 œuvres sont présentées au Salon. Cette année là la Société perd son fondateur, Jean-Paul Ladouceur meurt à la suite d’une longue maladie.
A compter de 1997, la Salon est présenté à la Salle Tudor du magasin Ogilvy. Cette même année le catalogue du Salon est imprimé […]